" Le rouge, feu sacré, irradie une énergie primordiale, une puissance tellurique qui pulse au cœur de la vie.
Il s'élève comme une flamme insoumise, déchirant la quiétude de l'existence.
Dans cette palette flamboyante, la vitalité se décline en un ballet incandescent, une chorégraphie fervente où l'éclat carmin est le maître de cérémonie.
Pour moi, ces notes écarlates résonnent sur les derrières féminins, une mélodie qui s'accorde avec chaque fesse rencontrée.
J'ai connu beaucoup de femmes qui se sont livrées à moi, dans le secret de rencontres furtives où tous leurs sens étaient en émoi. Chaque fois, c'était une cadence à réinventer, une partition à jouer avec passion et désir, selon chaque partenaire qui s’abandonnait au plaisir troublant de la fessée érotique.
Il ne me viendrait pas à l’esprit de claquer un postérieur féminin pour un autre dessein que de la conduire à la jouissance, à l’orgasme, multiple de préférence. Cela implique de jauger la bonne cadence qui diffère selon chacune de celles qui j’aime nommer, avec beaucoup de tendresse, mes « victimes ». Ce terme je le garde pour moi. Le vocable utilisé le plus souvent est partenaire. Cliente est la qualification adéquate. Une femme a parlé de « patientes ». Ce n’est pas erroné. Je crois aux vertus thérapeutiques de la fessée érotique. "
Il s'élève comme une flamme insoumise, déchirant la quiétude de l'existence.
Dans cette palette flamboyante, la vitalité se décline en un ballet incandescent, une chorégraphie fervente où l'éclat carmin est le maître de cérémonie.
Pour moi, ces notes écarlates résonnent sur les derrières féminins, une mélodie qui s'accorde avec chaque fesse rencontrée.
J'ai connu beaucoup de femmes qui se sont livrées à moi, dans le secret de rencontres furtives où tous leurs sens étaient en émoi. Chaque fois, c'était une cadence à réinventer, une partition à jouer avec passion et désir, selon chaque partenaire qui s’abandonnait au plaisir troublant de la fessée érotique.
Il ne me viendrait pas à l’esprit de claquer un postérieur féminin pour un autre dessein que de la conduire à la jouissance, à l’orgasme, multiple de préférence. Cela implique de jauger la bonne cadence qui diffère selon chacune de celles qui j’aime nommer, avec beaucoup de tendresse, mes « victimes ». Ce terme je le garde pour moi. Le vocable utilisé le plus souvent est partenaire. Cliente est la qualification adéquate. Une femme a parlé de « patientes ». Ce n’est pas erroné. Je crois aux vertus thérapeutiques de la fessée érotique. "
" Rouge est la couleur de la jupe que porte immanquablement cette complice pour ces séances où elle vient s’abandonner sur mes genoux. Gauchiste heureusement pas trop embourgeoisée, elle manifeste ainsi à la fois la sensualité qu’elle exacerbe pour l’occasion et son engagement politique.
La révolution s’écrit en effet en rouge, une rébellion incarnate qui teinte les pavés du sang des idées insurgées. Dans le rouge, se dessine le contour des rêves de changement, une vision écarlate où le drapeau de la transformation ondule au vent de l’insoumission.
Mais pour cette femme, la chaleur rouge est une étreinte sensuelle qui brûle les frontières du raisonnable, un brasier intérieur qui consume la froideur du quotidien. "
La révolution s’écrit en effet en rouge, une rébellion incarnate qui teinte les pavés du sang des idées insurgées. Dans le rouge, se dessine le contour des rêves de changement, une vision écarlate où le drapeau de la transformation ondule au vent de l’insoumission.
Mais pour cette femme, la chaleur rouge est une étreinte sensuelle qui brûle les frontières du raisonnable, un brasier intérieur qui consume la froideur du quotidien. "
" J’ouvre la porte et la découvre dans la tenue coutumière qu’elle réserve pour l’occasion. Le rouge flamboyant de sa jupe, en un tourbillon de ruches, caresse l'ombre de ses larges fesses, tandis que le cuir de son blouson, abandonné en hâte, dévoile le noir profond de son top bandeau, telle une invitation à pénétrer ses secrets.
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Je prends son bras nu pour la guider vers le canapé. Elle s’y laisse choir avec grâce. Je la culbute immédiatement. Sa croupe est magistralement enveloppée par cette jupe qui m’envoûte : je n’ai nulle envie de la retrousser. Emma non plus. Je la fesse ainsi. Elle se laisse faire, gémissant sous mes assauts.
Elle jouit très fort, son plaisir annihilant complètement l’empreinte de mes coups. "
Elle jouit très fort, son plaisir annihilant complètement l’empreinte de mes coups. "